Vous trouverez ci-dessous une liste de textes d'ambiances et de chroniques écrites par nos joueurs dans l'univers du Crépuscule des Dieux. N'hésitez pas à les commenter ! Et si vous aussi vous aimez l'écriture ou l'univers scandinave, rendez-vous sur le forum !
samedi, mai 10, 2025
Chroniques spectrales - Le Murmure du Nord
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- Category: Might & Magic : Heroes Kingdoms
- Created on samedi 17 mars 2012 16:16
par El Desdichado
Le vent qui s'engouffre dans nos vêtements et qui nous glace les membres. On l'appelle Mizar. Le Murmure du Nord. Et il est notre éternel compagnon. Notre premier ami lorsque nous sommes enfants. Notre confident les jours où nous doutons. Immatériel il est comme un spectre dont tout le monde a oublié le nom. Il est aussi le messager d'Odin, qui transmettra et immortalisera nos exploits une fois que les Valkyries nous auront conduit dans notre ultime demeure. Mais chaque jour de notre vie c'est lui qui nous rappelle que nous vivons.
Chroniques enragées - L'Appel du Crépuscule
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- Category: Might & Magic : Heroes Kingdoms
- Created on samedi 17 mars 2012 14:15
par Padmé
Au cœur d’une belle nuit étoilée et calme, une jeune femme se promenait.
L’air était si bon : une légère brise soufflait, la lune éclairait suffisamment le chemin pour marcher à tête reposée.
Padmé avait commencé cette ballade pour se détendre, afin de trouver le sommeil.
Le Crépuscule des Dieux
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- Category: Jeux
- Created on samedi 17 mars 2012 13:31
Des landes abandonnées qui s'étendent à perte de vue.
Pierres et glace.
Un horizon sans cesse déformé par un blizzard cisaillant.
De hautes falaises telles des murailles infranchissables.
Pas le moindre soupçon de vie ...
Chroniques teutoniques - l'Or du Rhin
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- Category: Might & Magic : Heroes Kingdoms
- Created on jeudi 15 mars 2012 13:33
par Desdichado
Hlidskjalf. Il était assis sur son trône. Un immense siège de granit dont le dossier s’érigeait telle une stèle à près de quinze pieds de haut. Sur chaque accoudoir se trouvait un corbeau à la ramure d’un noir de jais qui croassait, jouant avec ses doigts et recouvrant ses pieds était allongé un loup. Mes pas résonnaient et à mon arrivée il redressa la tête. Il portait une longue barbe blanche et posa sur moi son regard intemporel. Son œil unique avait la couleur insondable des profondeurs marines. Son autre œil n’était plus qu’un trou béant qui n’arrivait pas à cicatriser. Il m’était impossible de soutenir ce regard de glace.